Mes astuces minceur au quotidien

Mes astuces minceur au quotidien

Cancer du sein et prise de poids.


Cet article est disponible sur le journal des femmes Cancer du sein et prise de poids

 

 

 

 

 

Béatrice BENAVENT-MARCO

Diététicienne nutritionniste

http://www.maconsultationdietetique.fr


06/06/2011
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Qui dort dîne...ou l'influence du sommeil sur le poids.

 

Ne vous y trompez pas, ce vieux dicton a été, au fil du temps, détourné de sa vocation première : Obliger les clients des auberges à prendre leur repas sur place ! Durant la nuit, l'organisme continue à brûler des calories pour permettre les fonctions de bases : cardiaque, cérébrale, la respiration, le maintien de la température corporelle.  Il est évident que dans des conditions normales d'apport énergétique, un individu ne grossit pas en dormant.

A l'inverse , le manque de sommeil est responsable de l'augmentation de l'indice de masse corporelle. Moins on dort et plus on grossit. La prise de poids étant toujours la résultante d'un apport énergétique trop important. Chez un petit dormeur l'appétit est accentué en raison de perturbations hormonales.

Toutes les études faites à ce sujet viennent  démontrer que la sécrétion de leptine est diminuée, il en résulte une moins bonne impression de satiété. En parallèle la ghréline, hormone favorisant l'appétit est boostée. Difficile dans ces conditions de ne pas céder à des repas plus copieux ou quelques grignotages dans la journée. 

De plus, une complication vient s'ajouter dans le cas de surpoids ou de l'obésité : la dégradation de la qualité du repos et l'apparition d'apnée du sommeil. En clair, plus on grossit, moins on dort bien et plus on favorise la prise de poids. Il faut sortir de l'engrenage. Evidemment, le choix des aliments et la restriction calorique en vue d'un amaigrissement permettront une amélioration notable du terrain.

 Et les gros dormeurs me dire-vous ? Ils voient leur poids augmenter uniquement par le manque d'activité physique souvent associée.

Il faut donc trouver le juste équilibre entre activité physique, sommeil réparateur et alimentation adaptée.

 

Béatrice BENAVENT-MARCO

Diététicienne-nutritionniste 

 

Mon site de consultation en ligne  http://www.maconsultationdietetique.fr/index.htm 

 

  


21/06/2011
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Surpoids, Obésité chez l'enfant. L'importance des premières années.

A l’époque, les anciens pensaient qu’un beau bébé bien  joufflu était un gage de bonne santé, on n’imaginait pas qu’un jour l’embonpoint de l’enfant  serait pointé du doigt et utilisé comme un signal d’alarme pour la santé de l’adulte.

 Les  premières années de vie sont primordiales pour définir le poids à venir. En effet, il a été mis en évidence que c’est durant cette période que l’enfant met  en place  son nombre d’adipocytes. Par la suite, la nature ayant horreur du vide, ces adipocytes ont tendance à rester remplis. Plus ils sont nombreux, plus le poids pris est important, ces cellules ont en effet la capacité de stocker et de se dilater de manière  importante. Adulte, de nombreux régimes permettent de vider ces cellules graisseuses mais pas de les faire disparaître. Le risque de voir le poids se réinstaller est alors omniprésent.

Ce nombre de cellules graisseuses ne dépend pas que de l’alimentation proprement dite de l’enfant. Des dérèglements endocriniens, le statut nutritionnel de la mère pendant la grossesse, un diabète gestationnel, les facteurs génétiques et les facteurs environnementaux  sont autant d’éléments qui influencent le poids du tout petit. Pourtant c’est en instaurant des règles hygiéno-diététiques simples que l’on va pouvoir retrouver et maintenir un poids cohérent et éviter les complications.

En règle générale, on ne met jamais un enfant au régime. Surtout s’il est restrictif, ce programme ne ferait qu’aggraver le problème à court, moyen et long terme. En effet, chez le tout petit, la privation et la restriction alors que le rapport à l’alimentation est directement lié à l’affectif et à la mère viendraient déstabiliser des repères importants pour son développement. Chez l’enfant, l’ado et le pré-ado, la frustration de ne pouvoir accéder comme il l’entend aux aliments couramment consommés par leurs copains peut entrainer un sentiment d’isolement ou d’incompréhension légitimement vécu dans une grande souffrance.

Enfin sur un terrain déréglé par les privations et frustrations vécues durant l’enfance, l’adulte découragé par le prix à payer pour des résultats limités peut baisser les bras et regretter aussi d’avoir sacrifié son enfance à la dictature des calories.

Ce schéma est classique. Il ne faut donc pas engager son enfant sur une pente glissante dont l’issue ne serait pas profitable sur le plan psychologique et pondéral à l’adulte qu’il va devenir.

Un enfant a besoin pour son développement d’un apport énergétique suffisant. Il arrive que cet apport soit excedentaire par des habitudes alimentaires inappropriées et/ou des activités physiques trop réduites. Aujourd’hui, on constate que les rayons biscuits et friandises des supermarchés ont pris de l’ampleur offrant à cette clientèle de choix, une multitude de sollicitation et de tentation. Il y a quelques décennies, une tartine de pain et de beurre accompagnée d’un verre de lait suffisaient à se sustenter  après l’école, avant d’aller jouer pendant des heures à l’extérieur. Il n’y a pas encore si longtemps la télé ne fournissait pas de longues plages horaires de dessins animés et les ordinateurs n’avaient pas encore trouvé leur place dans les foyers. Aujourd’hui, les paquets de biscuits sont disposés sur la table basse devant des jeux vidéo ou des dessins animés disponibles à la demande entrecoupés de publicités vantant ces aliments pour le plus souvent hypercaloriques. Difficile d’en réchapper…Les surpoids et les obésités ont gagné du terrain.

La prise en charge d’un enfant en surpoids ne doit pas interférer avec sa croissance. Il arrive parfois que  toute la famille doit revoir ses habitudes alimentaires pour recréer un environnement favorable à la normalisation pondérale de l’enfant. La personne en charge des repas va modifier  sa manière de cuisiner ou d’effectuer les achats alimentaires. Plus la famille est impliquée, plus on observe de bons résultats. Pour les moins de 6 ans, le travail le plus important en matière de rééducation alimentaire est demandé aux parents. Ensuite, l’enfant est véritablement impliqué dans le choix et la gestion de son alimentation.

Concrètement, il s’agit tout simplement de revenir à une alimentation normale, équilibrée et adaptée à l’âge de l’enfant. Les centimètres pris dans le cadre de la croissance rétabliront au fur et à mesure des valeurs normales du rapport taille/poids. Il faut inciter l’enfant à bouger, l’amener au parc, lui faire faire du sport, jouer au ballon, faire du vélo…trouver des activités variées et amusantes. Rares sont les enfants qui ne finissent pas par en redemander. Outre la majoration des dépenses caloriques, toutes ces activités présentent en plus l’avantage d’éviter le grignotage plus facile quand on reste inactif à la maison.

Béatrice BENAVENT-MARCO

Diététicienne nutritionniste

 

www.maconsultationdietetique.fr 

 


14/05/2011
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Retrouvez un ventre plat.

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Béatrice BENAVENT MARCO

Diététicienne-Nutritionniste D.E

 

 www.maconsultationdietetique.fr        

  

 

Les diverses raisons qui nous amènent à avoir du ventre: 

  • Le problème peut être causé par des ballonnements liés à une alimentation riche en fibres irritantes et aliments fermentescibles. Il faut alors adopter une alimentation dite d’épargne intestinale.
  • Le manque de tonus des muscles abdominaux. Le but est de remuscler cette zone par des exercices adaptés.
  • Une rétention d’eau peut participer à cet effet « ventre gonflé », une alimentation drainante et légèrement diurétique améliorera le problème.
  • Enfin si le problème provient de la présence de graisse au niveau abdominal, seul un régime peut le réduire. A condition que celui-ci soit bien conduit. En effet outre la répartition générale des graisses celles situées sur la partie abdominale sont favorisées par une alimentation riche en sucre à index glycémique élevé. Le phénomène est parfaitement connu : pour permettre l’utilisation des glucides ingérés, l’organisme sécrète une hormone, l’insuline. Cette hormone favorise le stockage des graisses abdominales. Mais le processus ne s’arrête pas là. Plus il y a de graisses abdominales et plus la quantité d’insuline nécessaire à la gestion des sucres est importante. Il faut donc en sécréter une plus grande quantité induisant ainsi une prise de poids plus importante. Le cercle vicieux est enclenché.  Pour terminer il faut savoir que contrairement à un excès de poids sur la partie inférieure du corps, l’embonpoint au niveau abdominal, n’est pas à négliger, il expose en effet aux accidents cardio-vasculaires et autres pathologies métaboliques.

  

Actions concrètes :

  

  • Manger dans le calme: 

À heures fixes et LENTEMENT.

 

  • Le régime d'épargne intestinale :                                                                                                                        

Il Il va falloir éviter tout ce qui peut agresser votre intestin : Les fibres dures (les crudités seront supprimées pendant quelques jours, sauf les légumes jeunes tendres et râpés finement comme la carotte), les aliments fermentescibles (certains fromages, les pommes de terre...), les préparations trop riches, trop grasses, trop épicées, les boissons gazeuses. Vous pourrez à nouveau élargir votre alimentation dès que les ballonnements auront disparu et votre transit sera régularisé. Evitez les chewing-gums même sans sucres.

 

  • Les abdominaux :  

Pas de miracle, il faut faire travailler cette zone que l’on a tendance à laisser se relâcher surtout en position assise. On fait des exercices régulièrement, au moins 3 fois par semaine.

   

  • Le surpoids :  

Il faut trouver une alimentation adaptée à la mobilisation des réserves abdominales. Il faut puiser dans ce véritable coffre fort à énergie pour le vider. Un régime hypocalorique est souvent suffisant à condition qu’il ne soit pas trop restrictif pour éviter l’effet rebond. Attention à tous les aliments à index glycémique élevé.

 

  • On élimine l’eau :

Moins vous buvez et plus votre organisme retient  l’eau. Il faut donc boire au moins 1.5 l d’eau par jour. Les sodas et autres boissons gazeuses sont à éviter pour des raisons évidentes de ballonnements. Par contre les eaux pétillantes sont autorisées à conditions qu’elles ne soient pas trop riches en sodium. Deux marques répondent à ce critère : Perrier et Salvetat. En effet le sel retient l’eau dans votre organisme, il ne faut donc pas en abuser. Diminuez le sel de table et traquez celui qui entre dans la composition de certains aliments comme le fromage, la charcuterie, les conserves et les préparations industrielles.

 

  • On Masse :  

Les adipocytes sont engorgés. La circulation sanguine est altérée, l’eau, les fibres de collagènes tout est « coincé » par des cellules graisseuses volumineuses, le phénomène s’auto-entretien. Pour permettre de redistribuer le contenu des adipocytes dans la circulation, il faut travailler cette zone avec des massages. Le palper rouler est une technique efficace mais récemment une technique innovante est apparue, la lipocavitation. Cette alternative à la liposuccion donne d’excellents résultats en l’associant à une hygiène alimentaire adaptée.

 

  • En pharmacie :

Orthosiphon et probiotique

 

En résumé, on fait attention à son alimentation, on bouge et on masse. Votre petit ventre ne devrait pas résister longtemps.

     

  Pour plus de renseignements contactez-moi au 06 69 43 22 11.

 

 

Béatrice BENAVENT-MARCO

http://www.maconsultationdietetique.fr 

 

Information importante: j'ai constaté la copie de cet article sur d'autres sites. Je vous serai reconnaissante de respecter les droits d'auteur et de ne pas faire de copier/coller pour une diffusion sur le net sans me citer. Certaine de votre compréhension.

 

 

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20/10/2010
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Diététique de la ménopause

Le bouleversement hormonal de la ménopause est responsable de bien des désagréments. Bien souvent, la femme va constater une prise de poids, essentiellement abdominale. Un petit ventre qu’elle n’avait pas avant. Nous allons voir ensemble comment appréhender cette période d’un point de vue diététique.  Diverses études ont mis en évidence une augmentation pondérale lente mais régulière tout au long de la vie. Même si plusieurs phénomènes sont en causes, c’est à la ménopause que ce processus semble s’accélérer. Bien sûr les modifications endocriniennes vont être responsables mais pas seulement... Ce changement hormonal est à l’origine de la diminution du métabolisme de base. En clair le nombre de calories brûlées au repos diminue, la prise de poids est facilitée. La masse grasse se répartit aussi de manière différente, alors que chez la femme réglée, elle se situe principalement sur les hanches, les fesses et les cuisses, elle va se localiser sur le haut du corpsdès la ménopause. Cette nouvelle répartition des graisses n’est pas sans conséquences sur les maladies métaboliques et cardio-vasculaires. Le métabolisme de base est par ailleurs lié à la masse musculaire. Celle-ci diminue progressivement au profit de la masse grasse. La première initiative pour limiter la perte de poids est donc de limiter cette perte musculaire (masse maigre). Bien-sûr les hormones ont une responsabilité très importante mais il ne faut pas oublier que c’est aussi à partir de cet âge que l’on a tendance à réduire progressivement ses activités physiques. En dernier point, on peut parfois noter une baisse de l’estime personnelle mis à mal par la concurrence professionnelle mais aussi sentimentale générée par les jeunettes.  

 

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Comment agir ?

 

 Votre maturité mesdames sera votre meilleur atout ! Vous avez fini de croire aux régimes miracles qui sont censés vous faire perdre 10 kg en 15 jours, par conséquent votre gestion du poids sera plus efficace et plus durable. Vous prendrez le temps de bien mener une perte de poids sans traumatisme pour votre organisme, 3 à 4 kilos par mois pas plus. Vous ne négligerez pas les sources de protéines (les viandes, les poissons, les œufs) qui permettront d’éviter cette fameuse fonte musculaire. Les produits laitiers seront votre meilleur atout, outre leur apport protéique loin d’être négligeable, ils vous apporteront le calcium si nécessaire à la lutte contre l’ostéoporose.Des études récentes mettent aussi en avant le rôle protecteur des polyphénols sur la masse osseuse. Les vitamines C, E, provitamine A ainsi que les tanins et les anthocyanes participeront à la protection de bons nombres de dégénérescences et cancers. Vous trouverez tous ces éléments dans le thé vert, le vin rouge (à consommer avec modération) ; les fruits et légumes frais.

 

Béatrice BENAVENT-MARCO

Diététicienne nutritionniste

 

www.maconsultationdietetique.fr 

 

 

 

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13/10/2010
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